Le Français Pierre-Louis Costes décroche le titre de champion du monde de bodyboard pour la deuxième fois de sa carrière lors cette dernière étape du World Tour.

Le championnat Fronton King est une des compétitions de bodyboard les plus importantes des Îles Canaries car la vague de El Fronton est considérée comme une des meilleures au niveau mondial pour pratiquer ce sport.  Et si c'est le français Amaury Lavernhe qui remporte l'épreuve, c'est bien Pierre-Louis Costes qui décroche le titre mondial pour l'année 2016 !

Face à l'hawaïen Jeff Hubbard et au réunionnais Amaury Lavernhe, Pierre-Louis a remporté deux séries dont la demi-finale dans laquelle il a écarté Hubbard de la course au titre suprême. Puis le landais PLC s'est incliné en finale contre Lavernhe qui surfait chez lui car le réunionnais a élu domicile à Geldar depuis 5 ans.
Mais il suffisait à Pierre-Louis Costes d'accéder à la finale et que Jeff Hubbard y soit écarté pour espérer remporter la coupe de champion du monde de l'APB World Tour 2016. 

Amaury est victorieux du contest et termine également vice-champion du monde 2016. Deux frenchies sur le podium, c'est plutôt cool. Félicitations à nos deux français pour leur excellentes performances.

https://youtu.be/1ENnRA4SFeY

Résultats de la finale du Fronton King Pro 2016
1. Amaury Lavernhe (REU), 17.10
2. Pierre-Louis Costes (FRA), 15.00
3. Igor Sanchez (CNY), 7.77
4. Uri Valadao (BRA), 7.16

Classement final du Championnat du monde 2016
1. Pierre-Louis Costes (France)
2. Amaury Lavernhe (France)
3. Jeff Hubbard (Hawaii)

https://youtu.be/frcLU81hokc

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8Booth, Le type qui sautait illégalement des toits ou des falaises vient d'être interpelé par la police.

Âgé de seulement 28 ans, celui qui se faisait appeler 8Booth s'est rapidement fait un nom avec ces jumps interdits et ultra-risqués. Sauf qu'il n'était pas très discret l'animal. Sa dernière vidéo du saut depuis le toit de l'hôtel Laguna à Newport Beach a dépassé les 6 millions de vues donc forcément, ça a un peu énervé les autorités locales.  Les flics n'ont pas eu à chercher bien loin pour retrouver le "hors-la-loi" car 8Booth habitait le quartier et en plus il avait utilisé son vrai nom pour rentrer dans l'hôtel (pas très malin ça...).
La police a aussi révélé son indentité. Derrière son pseudo (et son bandana) se cachait un dénommé Anthony Armer, un jeune résident californien tout simplement en quête de sensations fortes et d'adrénaline.

La liste des accusation et des faits qui lui sont reprochés est assez longue car ce daredevil des temps modernes a enfreint un paquet de lois (notamment la violation de propriété privée) pour grimper sur les sommets et encore plus pour y descendre.
Il est aujourd'hui entre les mains de la police américaine et s'il cherchait des sensations fortes, il risque d'être servi en prison...

https://www.youtube.com/watch?v=yv064Eyx97w

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LA Nuit de la glisse REVIENT UNE NOUVELLE FOIS AVEC UNE DATE UNIQUE AU GRAND REX EN COMPAGNIE DES MEILLEURS ATHLÈTES DES SPORTS EXTRÊMES.

Le 18 Novembre au Grand Rex puis à partir du 24 dans les meilleures salles de France. Ski, Snowboard, Kayak, Wingsuit, Skate, Surf ou encore Paddle Board, tous ces sports seront mis en avant lors de cette soirée à couper le souffle !

Le film "Don’t Crack Under Pressure" était tellement puissant que Thierry Donard (le réalisateur) a dû redoubler d’efforts pour accomplir le second opus. Produire ce film a donc demandé énormément de force et d’énergie.
Un tournage où ils ont dû se rendre plus loin dans leur périple pour trouver l’exceptionnel, créer des situations rares et uniques dans les régions zapatistes du Mexique, aux sommets des Dolomites, jusqu’au fin fond de la Polynésie, sur les cimes des  Alpes… et le feu d’artifice pour la fin où tous se sont retrouvés en un lieu unique, dans les Fjords de Norvège, un lieu où toutes les disciplines peuvent se pratiquer dans un tout petit périmètre, un véritable Eden aux lumières et contrastes exceptionnels.

Les infos sur http://nuitdelaglisse.com

https://vimeo.com/187946591

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Après avoir surfé près d'un volcan en fusion, Alison Teal est de retour pour une nouvelle aventure rocambolesque.

Ce coup-ci la belle américaine s'attaque à un lieu historique de Paris, les Catacombes. Un endroit extrêmement étroit et très compliqué à accéder. Alison Teal nous prouve une fois de plus qu'elle n'a peur de rien et tente de surfer dans ces galeries souterraines parisiennes.
Situées dans le 14ème arrondissement, les Catacombes constituent un véritable labyrinthe dans le sous-sol de la capitale. À l'âge de 30 ans, Alison est la première au monde a surfer cet endroit sombre et pas vraiment approprié pour cette pratique. Enfin "surfer" est un bien grand mot parce qu'Alison Teal ne prend pas des vagues mais elle se met en disposition au cas où il en arriverait une...
Une bien belle façon de fêter Halloween !

https://www.youtube.com/watch?v=XWXE2qXEK38

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La dernière étape du Red Bull Cliff Diving de l'année 2016 s'est déroulé dans la prestigieuse ville de Dubaï avec une superbe victoire de Rhiannan Iffland chez les femmes et de Andy Jones chez les messieurs.

https://vimeo.com/189428944

La wildcard Rhiannan Iffland a parfaitement achevé sa saison de rêve en décrochant une cinquième victoire en sept épreuves, lui permettant ainsi de remporter le Red Bull Cliff Diving Women's World Series avec style sous les lumières de la marina de Dubaï.
Chez les hommes, Andy Jones a remporté sa première victoire devant une foule de 12 000 personnes venues assister au premier évènement nocturne de la discipline. Avec Iffland, le podium est composé de sa compatriote Helena Merten, et la troisième marche est occupée par la Mexicaine Adriana Jimenez. Le récemment sacré champion Gary Hunt a terminé deuxième, et le Mexicain Jonathan Paredes complète le podium hommes.

En arrivant à Dubaï, Rhiannan Iffland était à un plongeon du sacre mais l'Australienne de 25 ans a tenu à faire le show pour clôturer la saison 2016 en beauté. Avec cinq victoires et deux podiums, elle a dominé outrageusement le World Series féminin cette année. Les Australiennes ont frappé fort, puisqu'Helena Merten, la cadette de la discipline, a réalisé sa meilleure performance de la saison en prenant la deuxième place. Troisième, Jimenez a également battu son record cette année à Dubaï.

"Je suis sur un nuage", a déclaré Iffland. "Savoir que j'étais assurée du titre m'a enlevé énormément de pression. Je voulais juste prendre du plaisir sur les derniers plongeons de la saison."

Chez les hommes, le Californien Jones a utilisé son expérience au Cirque du Soleil pour remporter l'épreuve nocturne et battre sa meilleure performance de la saison sur le plongeoir de 27 mètres de haut, forçant le sextuple champion Gary Hunt à se contenter de la seconde place. Paredes, vainqueur de la première manche de l'année, termine sa saison avec une troisième place.

"Mon expérience a clairement été un avantage", avoue Andy Jones. "J'ai déjà fait de nombreux plongeons dans le noir dans ma carrière. Ça m'a clairement aidé à gagner le premier round et à continuer sur ma lancée. C'est mon meilleure score et je suis fier de cette première victoire."

https://vimeo.com/189428943

Gary Hunt a donc remporté son sixième World Series, le deuxième coup du chapeau après avoir dominé de 2010 à 2012 et donc de 2014 à 2016. Avec le plongeon le plus difficile du monde dans son programme, trois victoires et quatre podiums cette saison, le Britannique de 32 ans a une fois de plus marqué le sport de son empreinte. Paredes, l'étoile montante du Mexique, a battu son meilleur classement général (3ème en 2015) pour s'offrir une encourageante 2ème place en 2016. Jones, vainqueur à Dubaï, complète le podium final du World Series hommes, en devançant le Tchèque Michal Navratil d'une courte marge.

Chez les femmes, seule la Canadienne Richard a réussi à talonner Iffland au classement général. Elle termine 2ème grâce à deux victoires cette saison. L'Américaine Cesilie Carlton et l'Australienne Merten font 3 et 4, se qualifiant directement pour la saison 2017.

https://vimeo.com/189428942

Après neufs épreuves éprouvantes entre juin et octobre, dont sept pour les femmes, c'est le plus gros Red Bull Cliff Diving World Series qui s'achève ici à Dubaï. Ce sport extrême qui emmène les plongeurs sauter depuis endroits naturels, des environnements urbains, ou des lieux cultes se renouvelle toujours. Pour sa huitième année, ce sport qui défie la gravité a traversé l'Amérique du Nord, l'Europe, l'Asie et le Moyen Orient pour couronner deux nouveaux champions.

En 2016, le World Series a vu s'imposer plus d'athlètes que jamais : six vainqueurs en neuf étapes, dont deux inédits puisque Michal Navratil et Sergio Guzman y ont remporté leur premier succès. Une rookie a même remporté le titre suprême chez les femmes, une première dans l'histoire du sport.

Le World Series reviendra plus fort que jamais en 2017, avec son lot de champions et de championnes toujours prêts à repousser les limites du possible.

À noter que le Red Bull Cliff Diving est diffusé sur France Ô dans l’émission "Les Plongeons de l’extrême", produite par Puzzle Media.

https://vimeo.com/188946906

Résultats HOMMES
1. Andy Jones, USA – 508.50pts
2. Gary Hunt, GBR – 477.20
3. Jonathan Paredes, MEX – 465.05
4. Steven LoBue, USA – 463.45
5. Sergio Guzman, MEX – 457.40
6. Michal Navratil, CZE – 452.00
7. Orlando Duque, COL – 412.30
8. Artem Silchenko, RUS – 397.00
9. Alessandro De Rose (W), ITA – 309.95
10. Kyle Mitrione (W), USA – 291.80
11. Andrei Mikau (W), BLR – 245.45
12. Owen Weymouth (W), GBR – 238.40
13. Alain Kohl (W), LUX – 202.00

Résultats FEMMES
1. Rhiannan Iffland (W), AUS – 245.90pts
2. Helena Merten, AUS – 226.95
3. Adriana Jimenez, MEX – 209.70
4. Cesilie Carlton, USA – 207.40
5. Lysanne Richard, CAN – 192.80
6. Jaki Valente (W), BRA – 191.15
7. Ginger Huber, USA - 185.40
8. Rachelle Simpson, USA – 175.00

Toutes les infos, photos et vidéos sur www.redbullcliffdiving.com

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L'Océan Indien collectionne les spots de rêve. Pour les surfeurs en quête de voyages initiatiques ou de tubes inoubliables, voici une sélection (non exhaustive) de 12 vagues sur la route des Indes !

Le grand navigateur portugais Vasco De Gama est historiquement considéré comme le premier Européen à atteindre les Indes par la voie maritime en contournant le cap de Bonne Espérance à la pointe de l'Afrique du Sud en 1498. A cette époque, ce sont les cargaisons d'épices rares et d'étoffes précieuses qui font rêver les marins sur la route des Indes. Aujourd'hui, c'est une autre sorte de voyageurs qui se déplacent dans des conditions moins difficiles vers ces contrées exotiques en quête de vagues épicées cette fois-ci : les surfeurs ! Si l'Océan Indien n'est pas le plus grand (75 millions de km² quand même!), il est certainement l'un des plus actifs parmi les mers du globe.
L'agitation formée par la rencontre des fronts chauds et froids entre les 40ème et 50ème parallèles engendre une houle consistante presque continuellement. De Mai à Octobre, le Cap de Bon Espérance devient un véritable canon à vagues. La houle australe se propage du Sud Ouest de l'Océan Indien vers Madagascar, les Mascareignes, l'Australie de l'Ouest et jusqu'au Golfe du Bengale et en Mer d'Arabie.
L’Indonésie se trouve en bout de course et reçoit la houle la plus puissante et la plus consistante toute l'année.

Dans les années 60-70, le surfeurs baroudeurs prennent la route et ce sont les rivages lointains de l'Océan Indien qui délivrent leurs pouvoirs d'attraction. La vague mauricienne de Tamarin est révélée par le film mythique «The Forgotten Island of Santosha». Voyages initiatiques et vagues exotiques.
Peu à peu l'île voisine de la Réunion s’affirmera comme une destination incontournable mais c'est surtout l'Indonésie qui finira par s'attribuer la préférence des amateurs de spots world class. Bali envoûte les voyageurs, c'est une découverte culturelle. Avec une concentration incomparable de vagues de classe mondiale, une fréquence de houle exceptionnelle et des décors magiques, le plus grand archipel du monde est devenu au fil des décennies l'une des destinations préférées des surfeurs du monde entier.
Au delà des boat-trips organisés aux Mentawaï ou aux Maldives, l'Océan Indien continue de faire rêver les surfeurs du 21ème siècle qui ont encore une âme d'aventurier et d'explorateurs.
Madagascar, Canal du Mozambique, Mer d'Arabie, Golfe du Bengale : la route des Indes est loin d'avoir livré tous ses mystères !

John Callahan et le team surfEXPLORE nous présentent 12 vagues de l'Océan Indien aux parfums épicés, voire pimentés !

[caption id="attachment_139189" align="alignnone" width="1536"] Les vagues de la Réunion ont longtemps déroulé dans l'ombre de l'île sœur : Maurice et son spot mythique de Tamarin. Au fil du temps les spots de la Réunion ont prouvé que c'est l'une des meilleures destinations de l'Océan Indien mais fait actuellement face à une grave augmentation des attaques de requins.[/caption]

[caption id="attachment_139190" align="alignnone" width="1536"] L'Indonésie continue à faire rêver les surfeurs du monde entier. La concentration de vagues parfaites y est exceptionnel et la houle est présente presque toute l'année.[/caption]

[caption id="attachment_139191" align="alignnone" width="1536"] Le longboardeur britannique Sam Bleakley en noseride sur un spot d'Indonésie. Cette photo véhicule l'image rêvée pour la plupart des surfeurs : des vagues parfaites dans un décor de rêve.[/caption]

[caption id="attachment_139192" align="alignnone" width="1536"] Bordée par la Mer d'Arabie et le golfe du Bengale, l'Inde n'est pas la destination la plus prisée alors que les spots de surf sont nombreux. Un surftrip en Inde c'est aussi un choc culturel inoubliable.[/caption]

[caption id="attachment_139193" align="alignnone" width="1536"] « Les surfeurs qui aiment voyager hors des sentiers battus pourront trouver cette vague tropicale au parfum d'Ylang-ylang quelque parte sur la côte Ouest de l'île d'Anjouan dans l'archipel des Comores.[/caption]

[caption id="attachment_139194" align="alignnone" width="1536"] Madagascar est une des plus grandes îles du monde. Si les spots les plus connus se situent au Sud du pays, il reste encore des zones à explorer. Erwan Simon sur un spot de la côte Est.[/caption]

[caption id="attachment_139195" align="alignnone" width="1536"] Le team SurfExplore a récemment découvert de nouveaux spots de surf dans les îles Barren, un petit archipel difficile d'accès à l'Ouest de Madagascar.[/caption]

[caption id="attachment_139196" align="alignnone" width="1536"] Les îles Barren reçoivent la houle du Canal du Mozambique de Mai à Octobre. C'est dans cette archipel paradisiaque que l'équipe SurfExplore a identifié de nouveaux spots avec l'aide des pêcheurs nomades Vézos.[/caption]

[caption id="attachment_139197" align="alignnone" width="1536"] Le surfeur australien Tony Hussein a découvert les vagues des Maldives suite à un naufrage en 1973 sur l'atoll de Nord Malé. Il a surfé des vagues parfaites tout seul pendant plus de 15 ans. Aujourd'hui ce n'est plus un secret et c'est une destination de réputation internationale.[/caption]

[caption id="attachment_139198" align="alignnone" width="1536"] La côte orientale de l'Afrique est également exposée à la houle qui se crée entre le Cap de Bon Espérance et l'Antartique. Le Mozambique compte de nombreuses vagues de qualité.[/caption]

[caption id="attachment_139199" align="alignnone" width="1536"] Il faut parfois traverser le désert pour atteindre les rivages de la Mer d'Arabie. Le team SurfExplore franchissent les sables du Sultanat d'Oman en quête de nouvelles vagues.[/caption]

[caption id="attachment_139200" align="alignnone" width="1536"] Loin de Bali ou des Maldives, l'Océan indien continue à cacher des vagues étonnantes comme ici sur une île du sultanat d'Oman.[/caption]

Copyright John S. Callahan – SurfExplore
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Phénomène du big wave riding au féminin, Maya Gabeira allie charme, détermination et performance. Gros plan sur une surfeuse qui aime dépasser ses limites, pour le meilleur et pour le pire...

Lundi 26 octobre, nous vous présentions 8 jeunes femmes qui ont fait du surf de gros leur passion, si ce n'est leur raison de vivre. Parmi elles, Maya Gabeira, star de la discipline.

A 29 ans, la Brésilienne a déjà frôlé plusieurs fois la mort en allant défier les grosses vagues. Qu'on ne s'y trompe pourtant pas, la surfeuse née à Rio de Janeiro le 10 avril 1987 est l'une des meilleures surfeuses du monde, sans doute la plus talenteuse big wave rideuse de sa génération. Elle prend son premier cours de surf à 14 ans, motivée par son petit ami de l'époque... et par le film Blue Crush.
A 17 ans, la « chargeuse » part découvrir Hawaii et surfe alors ses premières grosses vagues, à Waimea Bay. Depuis, Maya Gabeira a franchi les étapes à vitesse grand V. En 2009, la belle auriverde score ainsi la plus grosse vague jamais surfée par une femme (45 pieds soit 14 mètres), à Dungeons en Afrique du Sud. Elle remporte également à la même période, 5 Billabong XXL Awards, catégorie meilleure surfeuse, de 2007 à 2012, auquel s'ajoute un ESPY « female actions sports athlete » en 2009. Voici pour le côté pile.

[caption id="attachment_139209" align="alignnone" width="1500"] Maya Gabeira[/caption]

Car la surfeuse a eu aussi son lot de coups durs, propres à tout big wave rider qui défie des murs d'eau. Le 27 août 2011, sur le spot impardonnable de Teahupoo, Maya encaisse un violent wipeout lors d'une session tow-in, se prenant cinq vagues sur la tête avant que Vetea David la récupère à demi-inconsciente, projetée sur un récif surnommé « le briseur de crâne ». Bilan : traumatisme crânien avec otorragie (écoulement de sang par l'oreille). Grâce à une préparation intensive de deux ans axée sur la technique et l'apnée, Maya Gabeira défie à nouveau le monstre polynésien, à l'été 2013, avec succès. La malchance touchera cependant à nouveau la Brésilienne, cette même année. Lundi 28 novembre 2013, à Nazaré au Portugal, la chargeuse auriverde est à nouveau victime de la puissance des éléments et des vagues XXL. Elle se casse la cheville, encaisse un wipeout, perd connaissance et est réanimée in extremis par Carlos Burlé. Et là encore, Maya Gabeira décidera de faire face, revenant affronter la vague de Nazaré en octobre 2015, pour surmonter ses peurs et son traumatisme.

https://www.youtube.com/watch?v=eyL8-ZrLKXQ

Un retour triomphal qui prouve que Maya Gabeira est une athlète hors norme, qui continue à vibrer pour le surf extrême et les vagues géantes. Quelque chose nous dit qu'en 2017, la belle au nom d'abeille va encore envoyer du gros et faire parler d'elle. Prêts à parier ? Pour la petite anecdote, Maya Gabeira a posée nue en 2012 pour le célèbre magazine « Body Issue » d'ESPN, et a préféré depuis se concentrer sur le surf, ce dont on ne saurait lui tenir rigueur.... Tudo bom Maya !

[caption id="attachment_139208" align="alignnone" width="930"] Maya Gabeira[/caption]

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Âgé de 31 ans, le surfeur basque Aritz Aranburu s'est imposé à l'Allianz Perfect Chapter, une compétition de tubes organisée sur la plage mythique de Praia do Norte à Nazaré au Portugal.

Cette épreuve d’un jour a bénéficié de vagues exceptionnelles qui ont permis aux 16 surfeurs internationaux réunis de rider des tubes de rêve sur ce spot légendaire.
Le surfeur du team QuiksilverAritz Aranburu, est un véritable prodige du tube-riding. Il remporte l'épreuve grâce à deux tubes massifs dominant ainsi Balaram Stack, Dylan Graves et Gabe Kling.

https://vimeo.com/189735559

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On avait déjà vu Kelly Slater surfer une porte mais là ça va encore plus loin avec ce projet de télé en guise de surf board.

À chaque fois qu'on pensait avoir tout vu, une nouvelle vidéo déboule et nous prouve qu'on est encore bien loin du compte.
Bobby Hasbrook démonte sa TV et décide de la surfer. Comme ça sur un coup de tête...
Et cet écran plat de 58 pouces s'avère être surfable en fin de compte, c'est ça le plus impressionnant ! Le plus drôle dans cette vidéo est que les autres surfeurs ne sont même pas étonnés de voir un type avec une télé sur le line-up.
Ce qui est sûr, c'est qu'elle va marcher beaucoup moins bien maintenant parce que l'électronique et l'eau font rarement bon ménage. Et maintenant, on se demande bien ce qu'on va bien pouvoir trouver de plus fou aujourd'hui...

https://www.youtube.com/watch?v=AIVEgqJzung

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Imogen Caldwell est un diamant brut. Une surfeuse à l'état sauvage qui ne vous laissera pas indifférent !

L'australienne a été élevée dans en endroit appelé The Bluff, perdu au millieu de nulle part et loin de toute civilisation. Mais notre pinup de la semaine n'est pas qu'un corps (même s'il est somptueux), c'est aussi une excellente surfeuse. Imogen surfe depuis moins de quatre ans et son niveau sur les vagues est déjà impressionnant.
Elle vit avec sa famille dans un bled paumé du désert australien à deux heures de la ville la plus proche. Pour surfer son spot sauvage et désert, il faut parfois affronter les requins et très souvent des oursins nous raconte t-elle.
Une beauté naturelle, une femme exceptionnelle et surtout à seulement 19 ans, Imogen Caldwell est une sacré surfeuse ! Si vous n'êtes pas convaincus, voici quelques vidéos et photos qui ne manqueront pas de vous émouvoir...

Photos : www.imogencaldwell.com

https://www.youtube.com/watch?v=_pfYhe1T4_U

https://www.youtube.com/watch?v=c8PuqP4OPgQ

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Les surfeurs sont extrêmement inquiets et pour cause, car les spots de Taghazout (La source, Anchor Point et Mysteries) sont en danger à cause d'un important développement immobilier dans cette région.

Situé près d'Agadir, ces spots de surf sont très prisés des locaux mais aussi des amateurs de belles vagues car ils sont réputés dans le monde entier. Un endroit que nous apprécions particulièrement pour son calme et son accueil chaleureux.
Le souci est que depuis plusieurs années, cette région est une des destinations préférées des touristes notamment grâce à sa douceur de vivre toute l'année et de sa tranquillité mais surtout pour son panorama époustouflant.
Mais les promoteurs immobiliers se foutent royalement des surfeurs et des spots et multiplient les projets de construction dans cette zone, ce qui bloque l'accès aux vagues.

Une pétition publiée sur la plate-forme Avaaz appelle les autorités à venir en aide pour sauver ces spots de surf. En quelques jours seulement, il y déjà près de 3000 signataires qui se sont manifestés pour supporter ce projet.  Taghazout est devenu un grand chantier immobilier pour des baraques de luxe et des résidences hôtelières. Certains spots de surf ont déjà totalement disparus (comme celui de la Bouilloire) d'après les locaux et ceux de La source, Anchor Point et Mysteries sont grandement menacés par ces travaux.
La loi sur le littoral 81‐12 devrait protéger ces plages et ses accès mais les travaux ont déjà commencés et rien ne semble pouvoir les arrêter.

À deux jours de la COP22 (la conférence mondiale sur le réchauffement climatique) qui aura lieu à  Marrakech, le Maroc est en train de perdre certains de ses meilleurs spots de surf donc il est temps d'agir et de faire réagir les gouvernements.
À vous de venir en aide à cette superbe région du monde en signant la pétition.

https://www.youtube.com/watch?v=G4o79KVMNiQ

https://www.youtube.com/watch?v=L1Pj6pifPfo

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La saison 2016-2017 des vagues géantes vient de commencer avec une entrée fracassante sur le spot de Nazaré.

La vague XXL du Portugal donne le ton de cet hiver pour le bonheur des chargeurs de l'extrême. Des images hypnotisantes et carrément flippantes si on s'imagine une seule seconde à l'intérieur de ces monstres d'eau. Des tonnes de flotte qui s'abattent sur vous et ne laisseront pas indemne si n'êtes pas capable de surfer ces vagues phénoménales.
Andrew Cotton, Carlos Burle, Jamie Mitchell, Sebastian Steudtner, Lucas Chumbinho, Alex Botelho et certains surfeurs locaux sont allés affronter ce gros swell qui a eu lieu la semaine dernière à Nazaré .
Malgré les pronostics qui tablaient plutôt sur une accalmie cette année,  Nazaré s'est bel et bien réveillée et cette énorme vague située au large du Portugal risque bien de refaire parler d'elle cet hiver !

https://www.youtube.com/watch?v=Yp0cfQUbPHA

La plus grosse vague du monde n'a pas fini de faire parler d'elle...  Nazaré est loin d'avoir dit son dernier mot !

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Ce qui est bien avec Sebastien Zanella et toutes les productions de Désillusion magazine, c'est qu'on est certain qu'on ne sera jamais déçu et qu'on va en prendre plein les yeux.

Une fois encore l'équipe de Zeb a fait un travail formidable, sans compromis, avec une qualité d'image incomparable.
Filmé aux Maldives avec le pro surfeur portugais Pedro Boonman, ce clip est un régal pour les yeux. Chaque image est une carte postale et fait rêver.
Une plongée poétique et hypnotique sur et sous les vagues de ce spot paradisiaque.

https://vimeo.com/189750813

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Qui de Nouria Newman ou Dane Jackson va devoir prendre une chute d’eau les yeux bandés ?

Quand Nouria Newman et Dane Jackson, deux des plus grands spécialistes de kayak extrême, se lancent dans un partie de chifoumi (pierre-feuille-ciseaux), le résultat est à la hauteur de leur talent.
Cascade à l’envers, descente les yeux bandés, course poursuite… Ils se lancent les défis les plus fous sur la redoutable rivière Wellerbrücke où se déroulait la Sickline quelques jours après ce chifoumi endiablé.

En marge de la Sickline (une des plus grosses compétitions annuelles), les deux kayakistes Red Bull ont pris un peu de temps pour relever des challenges assez flippants comme prendre une chute d’eau les yeux bandés ou un rapide en marche arrière. Mais seul le perdant du chifoumi devait s’élancer. Le résultat est dans la vidéo ci-dessus !

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On connait Chris Burkard pour ces sublimes clichés de la nature et glaciers en Islande notamment et bien le photographe nous propose aujourd'hui de retrouver son art sur des boards !

Une mini-série limitée et donc collector de planches de surf vient de sortir en partenariat avec la marque de boards Album et le célèbre photographe californien.
Un design inspiré de la nature et principalement des oeuvres de Chris Burkard qu'on retrouve ici imprimées sur ces planches d'une beauté rare. Les fameuses rivières islandaises sont ici reproduites à la perfection sur ces boards qui ont plus leur place dans une galerie d'art que sur les vagues.
3 modèles de planches ont été crées en double, une série qui est exposée dans la galerie Lux Art Institute à partir d'aujourd'hui et l'autre série sera dévoilée dans la galerie perso de Chris Burkard à Avila Beach (en Californie).
4500 $ pièce ce n'est pas rien mais en même temps, ce n'est pas le genre de planche qu'on waxe et qu'on ride...
Toute la collection est visible sur le site de Album et pour savoir comment ces oeuvres ont été réalisées, on vous laisse visionner la vidéo ci-desssous.

https://www.youtube.com/watch?v=o1QrOaVLBeA

Photos © Album Surfboards

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Inspiré de la nature, des vagues et de l'océan,  cet artiste travaille le bois comme personne.

Nathan Ledyard est natif de San Diego, un endroit où la culture surf est omniprésente donc difficile de ne pas y succomber. La beauté de l'océan n'a pa échappé à ce sculpteur sur bois qui reproduit les vagues californiennes sur des planches.
Cet artisan reprend lui aussi les plus belles vagues du monde comme celle de Pipeline par exemple avec un style unique car ces oeuvres sont en relief ! Des fresques en 3D car l'artiste californien peint et creuse également dans ces morceaux de bois.
Nathan se sert de la structure et de l'essence naturelle du bois puis il prend appui sur les noeuds et caractéristiques de la planche pour réaliser ses créations.
On vous avait déjà parlé du menuisier argentin Gaston Bilobrowka qui sculpte les vagues mythiques et voici un nouvel exemple d'un travail sur bois original inspiré de la surf culture. La texture du bois est unique donc chaque sculpture l'est aussi.
L'art, la nature et le ride n'ont jamais été aussi bien combinés.
Allez donc faire un tour sur le compte Intagram de Nathan pour plus de visuels.

https://www.youtube.com/watch?v=fEvvPLIXcq0

Et si comme nous vous aimez le bois, vous pouvez retrouver une petite séléction de produits avec ce matériau noble dans notre boutique.

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La surfeuse française Justine Dupont a terminé seconde hier lors du Pe'ahi Challenge 2016 sur les vagues XXL de Jaws.

Ce week-end avait lieu une étape du big wave world tour à Hawaii, une compétition de surf sur des vagues géantes qui pouvaient parfois approcher les 10 mètres de hauteur !
Chez les hommes c'est Billy Kemper qui s'est imposé pour la seconde fois d'affilé à Jaws devant le californien Greg Long. Billy surfait à domicile et c'est un spot très compliqué à analyser et à surfer donc sa victoire était plutôt prévisible.
Et pour la première fois, il y avait également une épreuve pour les femmes. C'est l'Hawaiienne Paige Alms qui en sort victorieuse avec notamment plus de prises de risque mais une fois encore, elle connaissait ces vagues très spéciales qui se trouvent en pleine mer. Pour la première fois, les surfeuses se sont retrouvées seules sur le line-up sans leurs co-équipiers et ont dû affronter ces vagues monstrueuses avec un jugement assez spéciale aussi car seules les deux meilleures vagues sont notées et la première compte double !
Justine Dupont arrive juste derrière Paige Alms et devant l'australienne Felicity Palmateer. Une belle performance quand on sait que c'est la première fois que Justine surfait ce spot. Les trois autres surfeuses de la finale (Keala Kennelly, Emily Erickson et Laura Enever) ont dû renoncer suite à des blessures et des wipe-outs assez violents.

La française termine donc vice-championne du monde de ce contest de grosses vagues (Big Wave Tour). Malheureusement la surfeuse de Lacanau n'est pas qualifiée pour le QS cette année. C'est sa collègue Pauline Ado qui prendra part au championnat du monde de surf en 2017.

https://www.youtube.com/watch?v=PxcCvvsybOE

Et puisqu'on parle de jaws, vous avez vu ce air stratosphérique de Kai Lenny ?

Pe’ahi Challenge finale hommes
1 - Billy Kemper (HAW) 29.07
2 - Greg Long (USA) 26.69
3 - Grant Baker (ZAF) 22.47
4 - Nic Lamb (USA) 18.89
5 - Pedro Calado (BRA) 18.04
6 - Will Skudin (USA) 14.41

Pe’ahi Challenge finale femmes
1 - Paige Alms (HAW) 21.66
2 - Justine Dupont (FRA) 10.77
3 - Felicity Palmateer (AUS) 1.63

WSL BWT Rankings Top 5
1 - Grant Baker (ZAF) - 21,180 points
2 - Greg Long (USA) - 20,832 points
3 - Pedro Calado (BRA) - 14,709 points
4 - Billy Kemper (HAW) - 13,589 points
5 - Will Skudin (USA) - 11,053 points

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Le film de bodysurf “les Palmes & le Couteau” est enfin disponible sur la chaine YouTube de XTreme vidéo.

Du surf sans board, c'est un peu le concept de cette discipline assez impressionnante car le bodysurfeur glisse littéralement sur les vagues avec rien d'autre que son corps.
C'est le premier film de bodysurf européen dont le but est promouvoir la discipline et les bodysurfers. Les images ont été filmées tout au long de l’hiver pour profiter des meilleurs swells du Pays Basque au Portugal en passant par l’Espagne.
Respectant son terrain de jeu, le bodysurfeur tente de le dompter sans jamais l’affronter pour en tirer le meilleur et y survivre..

https://www.youtube.com/watch?v=PyYPHTIzVxw

"À travers ce film, nous voulons exposer la recherche d’une harmonie parfaite entre le bodysurfer et l’océan. Seul avec ses palmes face à l’immensité de la nature et ses nombreux caprices, il cherche à faire corps avec les vagues afin d’y trouver une glisse pure et simple" a déclaré le réalisateur.

Production : RÉMI BLANC ET ANTOINE JUSTES
Riders : JOËL BADINA, YANN BADINA, LUCAS ESPIL
Guests : JEAN LEMONNIER, ANTTON LIBIER, ALBERTE VIDAL

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La fameuse super Lune n'a pas brillé pour tout le monde cette nuit mais certains ont quand même voulu célébrer l'événement avec du surf de nuit.

Hier soir, la Lune n'avait pas été aussi proche de la Terre depuis l'année 1948 et la prochaine fois qu'elle sera aussi près, ce sera en 2034. Un évènement car la Lune était d'environs 14% plus grosse que d'habitude. Les scientifiques appellent ça périgée-syzygie mais les médias ont préféré le terme de Super Lune.
Et après 69 ans d’attente, tout le monde s''accorde à dire que c'était plutot décevant car en fin de compte, il n'y avait rien de plus qu'une pleine lune normale, enfin pour un oeil humain.
Ça n'a pas empêché la longboardeuse pro Kassia Meador, ainsi que Colin Whitbread et leurs potes de taper la session pour célébrer cette fameuse Extra Lune. Par contre, notre astre lunaire n'était pas assez gros pour éclairer cette virée nocturne donc les surfeurs ont opté pour des lumières LED et des guirlandes de Noël sur les boards...
Et voici le résultat. Un bon prétexte pour profiter des vagues de nuit même si la visibilité n'était pas au top. Et d'ailleurs Colin s'est malheureusement cassé le nez sur une vague.
La prochaine fois que la Lune sera aussi brillante et proche de la terre, se sera dans 18 ans, ça vous laisse un peu de temps pour vous entrainer...

https://www.youtube.com/watch?v=oquY1LwAgQ0
Petite précision : la lune sur la photo du haut a été ajoutée avec photoshop...

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La pinup-surfeuse Anastasia Ashley a relevé ce défi insolite lancé par une compagnie aérienne.

Alors oui, on sait bien que n'est qu'une campagne de pub, un coup marketing pour Wow Air mais ça reste du surf et le concept est original.
Surfer les vagues de Los Angeles dans le Pacifique et l'eau gelée d'Islande en 24h seulement est un challenge qui a été proposé à la sulfureuse surfeuse qui a évidemment accepté.
On connaissait Anastasia Ashley pour ses photos très hot et surtout son incroyable échauffement à base de déhanché et de danse twerk mais la belle est également aussi douée sur des vagues. Passer du bikini et du soleil californien à la combi 5/4 et le froid polaire d'Islande en quelques heures doit faire tout drôle mais le défi est validé et le coup de com réussi !

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